Des portraits côte-à-côte à l’écran, un patchwork de plans dans la même image, parfois séparés par un filet noir… Le « split screen » (division d’écran) est un classique du cinéma et de la vidéo depuis la fin des années 60, comme l »explique très bien ce sujet d’Arte. Un effet que permettent d’obtenir la plupart des applis de montage.
Les puristes argueront qu’au cinéma, le « split screen » permet aussi de faire figurer le même personnage plusieurs fois à des endroits différents dans un plan fixe. Ou encore de rendre nets, deux personnages très éloignés l’un de l’autre (un au premier plan, l’autre plus loin à l’arrière plan) dans la même scène… Comme dans Les nerfs à vif de M.Scorsese ici à gauche. C’est vrai. Mais c’est un autre sujet que je traiterai peut-être… Je ne parle ici que du split screen « simple », consistant à mettre côte à côte deux plans (ou plus) différents, recadrés pour loger dans le même cadre à seule fin d’illustration multiple. Comme l’image d’ouverture en haut de cette page. Un principe élémentaire du montage dont les techniques et les options diffèrent sensiblement d’une appli à l’autre. Mais que l’on peut facilement atteindre une fois qu’on en a compris le principe. La preuve ci-dessous avec 7 applications de montage parmi les plus répandues : Adobe Rush, iMovie, Kinemaster, LumaFusion, Power Director, VideoLeap et VN.
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